Logos Nous contacter, téléphone, portable

Espace pédagogique

Les dernières actualités
  • 30-08
    Vétérinaire rural en 2021 : un métier aux multiples facettes

    À l’instar des éleveurs, les vétérinaires ruraux ont vu leur profession évoluer ces dernières années. Le soin aux animaux se prolonge de plus en plus d’un volet conseils, accompagnement et prévention. Rencontre avec Gérard Bosquet, vétérinaire rural spécialisé en bovins dans les Ardennes.

  • 31-05
    Journée Mondiale du Lait : un événement à vivre ensemble !

    Ensemble sera le maitre mot de la filière pour la Journée Mondiale du Lait, ce 1er juin. Ensemble pour construire une France Terre de lait durable, portée par des métiers attractifs, « au contact du vivant », et sources d’opportunités d’emplois !

  • 02-04
    La Vache qui rit a 100 ans : focus sur sa Maison et les animations

    Depuis le Jura où est fabriqué l’emblématique fromage fondu, un anniversaire s’apprête à être grandement célébré : le centenaire de La Vache qui rit, depuis son musée de marque paré pour l’occasion. Visite !

  • 10-02
    Sarthe : de jeunes éleveurs rencontrent les élèves

    Faire découvrir l’univers du lait, c’est aussi évoquer les nombreux métiers qui lui sont associés. Un quotidien et une passion que partagent les JA de la Sarthe avec les élèves de primaire.

Exprimez-vous!
Une question, un avis, une suggestion ?
-

Chauffeur ramasseur – Collecte de lait

collecte de lait chauffeur camion échantillons

Q. Quels sont les points forts du métier ?
R. C’est un métier de contact et de proximité : je rencontre tous les jours ou presque les producteurs. Il faut aimer le milieu agricole et l’échange avec le client. Je suis toujours bien accueilli. Je ne suis pas un simple chauffeur routier, le prélèvement [d’échantillons destinés à l’analyse du lait] valorise beaucoup le travail, c’est une opération sérieuse qui engage le producteur sur sa facturation.

Q. Des aléas ?
R. On conduit par tous les temps, même sous la neige [ce chauffeur travaille pour une laiterie installée dans les monts du Cantal] !. Il faut grimper dans la montagne avec des chaînes, être parfois arrêté par des congères. Mais j’arrive à passer même là où les voitures ne passent pas ! Je fais partie des seuls à passer partout comme le facteur et l’épicier.

Q. Les difficultés du poste ?
R. Il faut tenir les horaires, travailler parfois de 6 heures du soir à quatre heures du matin, y compris certains week-ends. Je travaille en deux-huit mais il m’arrive de faire jusqu’à 10 heures de travail !